Accordez-moi, Seigneur, ce vin qui est aussi nécessaire que votre précieux sang. Ce vin, sans quoi, tout ici bas est laid et maussade, ce vin qui rend la vie acceptable, et tolérables les foutus contemporains que vous m'avez données.
Léon Bloy

Ce blog se base sur les travaux de Joseph Bollery et du cher Emile Van Balberghe (+2024). Ce dernier laissera un grand manque parmi les bloyens, lui qui travailla sur Bloy jusqu’à sa mort.

Ils ont parlé de Léon Bloy : Edmond Barthèlemy (1868-1933 ou 1934)

Aujourd'hui, le petit manuscrit, sous forme de lettre d'Edmond Barthèlemy (1868-1933 ou 1934), journaliste et collaborateur au Mercure de France. Il est fort probable que Bloy l'ait rencontré ainsi. On ne connait que trois livres dédicacés à Barthèlemy entre 1913 et 1917.

Ce texte a été publié dans le numéro des Marches de Provence consacré à Léon Bloy en 1912. Il est d'ailleurs fort probable qu'il existe d'autres ouvrages que Bloy lui a dédicacés avant 1913.





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