Accordez-moi, Seigneur, ce vin qui est aussi nécessaire que votre précieux sang. Ce vin, sans quoi, tout ici bas est laid et maussade, ce vin qui rend la vie acceptable, et tolérables les foutus contemporains que vous m'avez données.
Léon Bloy

Ce blog se base sur les travaux de Joseph Bollery et du cher Emile Van Balberghe (+2024). Ce dernier laissera un grand manque parmi les bloyens, lui qui travailla sur Bloy jusqu’à sa mort.

Ils ont parlé de Léon Bloy : Jacques Maritain (1882-1973)

Aujourd'hui, une première lettre de Jacques Maritain à Aurélien Coulanges dans laquelle il accepte de participer au numéro consacré à Léon Bloy.



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